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du bordel au capharnaüm

du bordel au capharnaüm
  • Crise ou « κρισισ » (krisis), qui au départ évoque le jugement, la décision : Ces mises en scène photographiées et retouchées pour certaines interrogent le corps intime et social. Posent la question de l’identité et comment ce corps répond aux incertitude
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16 juillet 2014

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16 juillet 2012

A l'entrée défense d'entrer

A l'entrée défense d'entrer
par Cél Evna, mercredi 28 décembre 2011, 18:53 · Public Amis Moi uniquement Personnalisé Amis proches IUFM Rennes Afficher toutes les listes... Université Rennes 2 Haute Bretagne Famille Famille FAMILLE Pas encore stabilisée Lycée Bréquigny Connaissances...
16 juillet 2014

Mon film

13 septembre 2013

À coups de ...

Cultiver sa vie à coups de pioche,

à coups de pelle assommer les mauvaises herbes,

mais sans faire mal aux coccinelles.

Terminer à coups de râteau,

griffures éphémères,

à l'intérieur j'y mettrai des graines,

des pucerons à manger pour les coccinelles,

et à coup d'ailes feront apparaître le soleil.

À coup de larmes,

j'arroserai mon jardin, pour qu'il y ait un lendemain.

2 juin 2013

Apparition

Obscurcir l'horizon jusqu'à l'éblouissament 

Dessiner les contours de l'informe

Plonger dans la chaleur de ses entrailles

Emotion fatale dans son apparition faisante

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29 mai 2013

Encore un instant

Je peux m’en retourner  sans me retourner

Arrêter de tourner ces pages

Les laisser dans l’oubli s’envoler une à une

Un souvenir persistera… peut être

Un jour il me ramènera

Le glas déjà résonne

Je sais que tu es là

Je sais que tu m’attendras

Ton sourire apaisera mes peurs

Ta main tendue m’accueillera

J’espérais respirer… j’ai toujours suffoqué

Etre à ma place…enfin

Compter des grains de sable,

Recommencer au rythme des marées

Il me reste le choix des armes

Un choix si évident qu’il ne peut en être autrement

Pour se corps si pesant

A qui je laisse encore un instant

7 mai 2013

...

Tu étais là où je n'étais pas...

on aurait pu être au même endroit,

mais on y était pas ...

alors j'ai fugué, sans le savoir, 

sous la fenêtre de ma chambre,

je m'y suis figée,

j'y suis restée, à attendre, 

avec dans mon sac, 

mes poupées,

et ce qui restait de prozac 

14 avril 2013

Comme à chaque fois...

Je vois tout en noir, à chaque fois.

A chaque fois, Je vois tout en noir,

Pour mieux vivre, j’ouvre la porte,

Je ne sais plus, si j’ai peur,

De moi-même, des autres,

Alors…

Je vois tout en noir, à chaque fois.

A chaque fois, je vois tout en noir.

Chaque lambeau de cette peau,

sera le mien, couche par couche,

érosion accélérée, prématurée …

Sortir de ce monde,

Y rester… sans y prêter,

La moindre attention,

Se boucher les oreilles,

Ne plus rien entendre,

Il faudra pourtant sortir.

Je vois tout en noir, à chaque fois.

A chaque fois, je vois tout en noir.

La sortie... un cul de sac,

Démêlant les nœuds,

Au rythme du balancier,

Ce corps qui va et vient,

Complètement désossé.

Éteins la lumière

Souffle la bougie,

Jusqu’à ce que la fumée d’asphixie,

L’automate articulé grince,

Surtout reste figée,

Tu risquerais de te blesser,

Ton dessein ne sera  le remède,

Et irrémédiablement...

Tu  verras tout en noir comme à chaque fois.

 

 

18 mars 2013

Décadence post-humaine

L’instabilité est permanente,

De chutes en essors,

D’essors en chutes

la décadence post-humaine,

rappelle au passé,

le soleil de la mélancolie,

refuse de se coucher,

la répétition est perpétuelle

j’aurais voulu que tu sois dans mes pensées

 un peu plus souvent que cela  est arrivé

être dans les tiennes… de temps en temps

Maintenant il est trop tard

L’immobilité est immolée

Ronge ce sabre, celui-là même

Qui t’a transpercé

Ronge, cet os

A en avoir le goût du sang dans la bouche

Je te protègerais de ce monde

Je t’emmènerais dans mon univers

Il n’est pas plus beau

Mais lui n’est pas réel

Et si tu tournes en rond

Dans cette sphère

On s’enverra en l’air

En buvant quelques verres

On oubliera que dehors il fait froid

Que dehors règne la mort

S’il le faut on ira réveiller

Quelques cadavres

Qui d’antan levaient leurs étendards

Ceux qui ont si bien combattus

Qu’on dort sur nos sofas

Je t’enfermerais dans mon univers

Pour ne pas être seule dans cette sphère

Pour y voir plus clair

Quand auprès de moi

Tu m’offriras la lumière

Ensemble, on oubliera

Qu’on fait les hamsters

Dans cette roue ou tout est joué d’avance

 

 

 

 

7 mars 2013

En noir et blanc

Ce qui devait être beau, ce qui devait être à la vie,

n' a pas été permis.

 La fatalité a transformé cet état de fait,

en quelque chose de laid.

Ce sang qui coule rappelle à cette fatalité.

Particules volatiles qui imprègnent de son destin morbide

cette matière presque animée.

La mélancolie disparaît pour une profonde affliction.

Elle a repris sa place, sur ses fondations solides

qu'au temps d'autrefois elle avait bâties

Partir sous le soleil qui brille

ne pas pleurer comme ces nuages sur le bitume

Une vie en en niveau de gris

A chaque jour sa nuance

Répétition perpétuelle sous contrastes

Renoncement d'un corps érodé!

 

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